• Apologie de l'irish coffee

    Société de l'information, donc de la désinformation - dans les relations commerciales (un peu), institutionnelles (beaucoup), sociales (passionnément)… Face à la confusion involontaire, à l'amalgame manipulatoire ou autres processus de confusion, une recette s'impose, comparable à celle du café irlandais : dissocier pour intégrer.

    irish coffee 

    Tous les amateurs vous le diront : ce qui fait la saveur d'un café irlandais, c'est la qualité des ingrédients, le talent de l'artiste, l'ambiance de la dégustation et bien d'autres choses. Et ce qui fait la différence entre un bon et un mauvais café irlandais, c'est la capacité de bien distinguer toutes les couches (whisky, café, double cream) et à les maintenir séparées jusqu'au contact avec le palais. Si l'on y parvient, celui-ci pourra savourer la synthèse suave de multiples fragrances complémentaires. Sinon - c'est à dire si la rencontre de tout ou partie des composants s'est produite prématurément - le résultat aura le charme indescriptible d'une bouillasse immonde. Car un ensemble composite ne saurait être réduit ni à une juxtaposition d'éléments, ni à un mélange désordonné ! C'est pourtant ce qu'on fait à longueur de temps dans le débat public ou dans le jeu socio-économique...


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    C'est dangereux, comme tout remue-méninges... mais c'est gratuit !

     

     

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