Puisque c'est complexe, faisons simple ! 
  Questions techniques, économiques, sociales, culturelles, institutionnelles... tout est de plus en plus complexe. Qu’on soit manager ou enseignant, militant ou élu, parent ou étudiant, on a du mal à trouver des repères fiables quand on comprend mal ce qui se passe. Dans la  vie personnelle, professionnelle ou sociale, comment “faire simple” avec des problèmes insaississables ? [> Complication contre complexité]

En fait, simple et complexe ne s’opposent pas mais se complètent : on maîtrise la complexité par la simplicité, par l’action sur les ressorts élémentaires. Mais, comme l'affirmait Gaston Berger, la simplicité se conquiert. Elle se cultive, se travaille, c’est une question de méthode : rigueur, discernement, comportement autonome... Or, la tentation du simplisme est forte (facilité), son chemin évident (confusion), sa pratique reposante (suivisme). Renonçant à résoudre la complexité, on va alors la réduire en complication [ne pas confondre !]. Que voulons-nous ? Accepter le simplisme et propager la complication, ou conquérir la simplicité et maîtriser la complexité ? [> Ressorts du simplisme]

Chacun a le choix entre le cercle vicieux simplisme/confusion (bien des programmes TV peuvent l’y aider !) et le cercle vertueux simplicité/complexité - ou simplexité - que ce site veut illustrer, promouvoir, stimuler, entraîner... De façon interactive, bien sûr, n'hésitez pas à vous exprimer !

En très bref, la simplexité est une démarche tendant à rendre lisible et exploitable ce qui, sans elle, serait confus et déroutant. Car elle va "à l'essentiel" (l'essence des faits ou des idées), en distinguant bien les différents niveaux de complexité et en faisant apparaître les relations entre eux. Comme une carte routière, qui permet de se repérer car elle distingue, hiérarchise et relie les grands axes, les routes moyennes, les voies secondaires et les chemins de campagne - à la différence du JT qui, souvent, isole quelques pièces du puzzle, préfère ce qui distrait à ce qui éclaire et, surtout, ignore les voies structurantes… Voir > Rebonds

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